vendredi 20 août 2010

Moi et Slee

Pour la première fois (à ma connaissance), l'alcool me rend antipathique, voire méchant. Plutôt bête... ça joue sur le système, cette histoire de break-up entre lui et Rammy. Tout comme cette fille connu sur un truc de rencontre, tout comme cette amie qui vient de perdre sa job, un superbe cinéma... Tout comme l'autre fille que j'essaie encore d'oublier avec le houblon.
En plus de mes chums qui m'envoient quasiment chier, à force de les inciter à fêter mes 22 ans avec moi...

Dire que j'voulais tellement que ce sanctuaire soit loin des gémissements de la drama-queen que je suis... juste des nouvelles, des histoires, pas de blabla snif-snif.

J'ai l'air d'un beau cave.

L'influence nippone



Lundi dernier, j'ai été voir un film. Une autre adaptation de bande dessinée, dont je n'avais encore jamais entendu parler. Je parle de Scott Pilgrim. C'est Bryan Lee O'Malley, un canayen bien de che nous, ou plutôt de l'Ontario, qui a conçu cette bd au style manga en 2004. En fait, côté style, ça rejoint bien sûr le manga, les cartoons, mais aussi cette touche simple de noir et blanc de Marjane Satrapi, dans Persépolis (la forme des yeux, les expressions faciales, le look des édifices à la fois crayonné/bâclé et détaillé en même temps).
Avant d'avoir consulté mon premier exemplaire des six volumes, il m'a d'abord fallu passer au travers d'une question: est-il classé dans les mangas? La question peut sembler stupide, mais essayer de chercher dans une librairie une bd qui ne soit ni japonaise (mais canadienne), qui ne se lit pas de droite à gauche, mais qui a le look, et le format d'un manga; comparé à tous les autres romans graphiques et autres comics publiés en français qui ont tous (ou presque) ce format 14 par 9 ou je n'sais quoi, avec la couverture en carton. Pensez à Astérix, Tintin et Garfield, pour vous donner une idée. Alors donc j'arrive là et puis, au fond, je n'avais pas vraiment à chercher (à cette librairie) car le volume était en présentoir, style coup de cœur ou je sais pas...

Côté histoire et personnages, je dois avouer qu'avoir vu le film avant de lire la bd, c'était définitivement pas la bonne idée, tout comme n'importe quel adaptation en général. Ça vous met les voix et visages des acteurs en tête, et ça, mes amis, c'est malsain. Après être passé au travers du volume 1 ("Precious Little Life"), j'ai revu les premières 20 minutes du film avec des dessins que je trouvais bâclés et qui ne rendait pas au personnage principal sa "clumsiness" que Micheal Cera rend si bien. Mais voilà, le fait est que ce Scott P. n'est pas Micheal Cera, dieu merci. Et le texte en français ne rend pas justice à l'histoire. Je viens de passer au travers du tome 2 et 3 en anglais et enfin j'y ai trouvé ce que je cherchais: une ambiance et un style propre à l'auteur, je crois, avec approfondissement du récit, ainsi que le langage sublime de ces ados attardés qu'on aime tant. Et que dire de Ramona... Mary E. Winstead fait très (très. o_o) belle figure dans le film, mais elle n'est que peu de chose à côté du personnage qui évolue dans la bd.

Et les références... La création d'O'Malley en fait beaucoup, autant au niveau des lieux que de la musique que des jeux (sonic, mario bros, entre autres), mais pas aussi bien par contre que le film qui commence sur une version 8 bit du logo Universal. Fallait le faire. Et utiliser la bande son et bruits de "Zelda: A link to the past" pour contribuer à l'univers de Scott? Fort. Définitivement, les nippons ont créé un monstre adorable et détestable en même temps.

Et j'avoue avoir encore de la difficulté à imaginer Michael Cera jouer un bourreau des cœurs qui se claque des nanas pas possibles (une ptite rousse, une chinoise lycéenne, une blondasse rock-star et une hipster new-yorkaise...), même si Scott est inoffensif, pas vite et un peu niais.
C'est comme fucking pas juste ni réaliste.

mercredi 18 août 2010

A place to call home

Musique: 'Flamenco Sketches', de Miles Davis.
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Depuis deux heures que je marche, si ce n'est pas plus. Le pneu arrière de ma bicyclette est percé, et la transporter sur des kilomètres, ça devient radicalement gênant. Je ne sais pas ce qui m'a pris, de partir sur un coup de tête pareil... Le soleil commence à se couvrir. Les seuls indicateurs de temps qu'il me reste sont la circulation qui diminue de plus en plus et, si j'ai de la chance, une cabine téléphonique affiche l'heure au moment où je passe.

J'ai froid...
Le vent se lève, et des gouttes de pluie commencent à tomber. Je n'ai ni manteau ni chapeau, ni rien. Je suis parti si vite, je n'ai pensé à rien emmener, je voulais juste aller loin. Rendu au coin d'un boulevard très achalandé, je m'installe sur un bloc de ciment dans un terrain vague. Une ancienne boite de strip. LA boite de strip de Curé-Labelle. Il se fait tard, mais j'attends que la circulation dérougisse avant de bouger. Mauvaise idée, car la pluie commence à battre, à me battre. Il faut que je change de place au plus vite... La tête par dessus le guidon, les lunettes embuées par l'effort qu'il me faut pour rouler sur la roue crevée, j'arrive à peine à faire du 10 km/h, alors je redescends et coure du plus vite que je peux pour me réfugier sous un arbre. Plus qu'une dizaine de rues et je serai enfin sur la route principale... Encore l'effort pour pousser, pousser, et pousser. Je suis trempé jusqu'aux os, mes vêtements collent et pèsent une tonne, et la pluie tappe toujours plus fort. Je coure comme un défoncé, les oreilles me brûlent, je ne vois rien, mais je fini par arriver sous un petit toit d'un café.

Il n'y a personne, et je pleure.

Mes larmes se fondent avec la pluie qui coule de mes cheveux... Perdu, défoncé, saoul... Le haut-le-cœur me prend, mais je n'arrive pas à vomir. T'es devenu pathétique, mon gars. T'as voulu t'en sortir en pensant que ça allait tout régler, mais dame nature t'a rattrapé et maintenant, tu subi les conséquences. Regarde autour de toi: aucun repère. Personne n'es là pour pleurer sur ton sort. Tu as beau prier ton dieu, faire ta petite prière, mais il n'y aura pas de sauveur pour toi ce soir. Regarde toi maintenant: tu fais pitié avec ta chemise et tes jeans trempés, tu ne vois même pas le bout de ton nez dans cette noirceur, et tu pleure... Tu te souviens, cette phrase dans Amélie? "Mais elle, qui va s'en occuper?" Tu aurais pu être celui qui s'en occupe. Tu aurais dû avoir plus confiance en toi, tout à l'heure... Mais tu as préféré te rabaisser sans cesse et faire l'imbécile. À voir ton état, aucune fille ne voudra de toi. Alors ressaisi toi et prends les choses en main.

Tu n'as plus quatorze ans.

Tes amours ne sont plus aussi inoffensifs qu'avant, ils te suivent et te tourmentent. Et, la tête baissée, la tête en mille miettes, le cœur en lambeaux, tu restes là sous la pluie, à sentir chaque goutte sur ton frêle squelette et à espérer que tout cela finisse. Les espoirs que tu fondais sur des scénarios, tu finis par les trouver stupides et sans réalisme. "Comon Julie, juste une p'tite nuit"... C'est beau et triste, de penser qu'une chanson peut aider ta cause. Mais les faits sont là, et tu as décidé de fuir au lieu d'accepter ce qu'elle t'a dit.

Le vent redescend. Au loin dans le ciel, des éclairs illuminent le ciel, le tonnerre gronde faiblement. Il reprend sa bicyclette et marche affaibli vers un autre repère. En marchant sur la maine, il finira bien par tomber près d'un commerce encore ouvert. Son corps est couvert de sueur, de larmes et de pluie. Aucun lampadaire ne couvre son chemin; il ne fait que marcher sur le trottoir. L'alcool se dissipe, mais sa tête fait encore des flammèches. Le froid le prend. Il éternue. Il halète. Entre deux coins de rues complètement abandonnées, il n'a plus de force et n'avance plus.

Il tombe au sol...

Sa bicyclette tombe de l'autre côté. Il laisse ses cheveux tomber sur son visage, l'aveugler plus qu'il ne l'est déjà, par la rage ou par l'amour qu'il pensait avoir. Peu importe. Il ne réussi même plus à penser. Ses deux mains sur l'asphalte, accroupi sur ses genoux... Le poing sorti, un coup, deux coups, trois puis quatre puis cinq. Une plaie laisse couler une petite goutte de sang, invisible au regard dans la pénombre, mais qu'il sent et couvre de sa bouche. Il pose ses lèvres sur sa jointure... Leurs places ne sont pas là où elles devraient être, pense-t-il. L'insensibilité l'attrape enfin. Il se lève et marche comme un moribond, au milieu de l'avenue déserte. Toute chose a perdu sa pesanteur, vêtement comme véhicule. Vide de toute pensée, espoir ou force, il avance sans savoir sa destination...

Enfin, un téléphone.

Il pose son vélo contre la cabine, entre et plonge sa main droite dans sa poche, le regard blanc. En la sortant, plusieurs pièces tombent. Il en ramasse deux, trois, les insère dans la fente et compose un numéro. Le seul qui lui revient à l'esprit. Quatre coups de tonalités et ça répond.

-Ouais allo?
-.....
-Aaaallo..?
-Simon... chu perdu... (une larme sort, puis une autre. Il renifle.) Pen... penses-tu que tu pourrais me lifter? (il tousse)
-Euh... ouin, ben donne-moi genre cinq minutes. T'es où, là?
-Dagenais... devant le dep...
...

La tonalité. L'autre main sur le front. Les yeux fermés. J'ai l'impression d'être mort... Il ne viendra jamais, mais j'attends quand même. J'ai rien à écouter, sauf la tonalité du téléphone...

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Dans sa voiture, une couverture sur le dos, le bicycle dans le coffre, je suis là à trembloter comme jamais. Je regarde mes genoux, puis ferme les yeux et dis, simplement: merci, man... On passe le reste du trajet, un bon vingt minutes, à ne rien dire.




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Jean, mercredi soir, 1h22 am.

dimanche 15 août 2010

MUTANT SOUNDS: Family of God-st,2CD,1996,USA

MUTANT SOUNDS: Family of God-st,2CD,1996,USA

Un groupe qui n'a d'écho que le souvenir des gens qui ont connu, qui connaissent. Aucune trace nulle part. Et c'est navrant.

Les liens pour l'album double est encore valide. Écoutez, ça en vaut vraiment la peine.

vendredi 6 août 2010

Ladybug

J'arrête mes histoires l'instant d'une mini confidence: tu vas me manquer. Même si on se voyait peu souvent, tu restes quand même la meilleure personne avec qui j'ai le plus de facilité à parler, malgré tous les trucs sur lesquels on se dispute sans cesse. Le fait d'avoir autant vécu avec toi, c'est clair que ça joue sur les perceptions. Tout est amplifié, les bons côtés comme les mauvais.

Mais voilà; lorsque tu seras à des milliers de kilomètres, je n'aurai probablement en tête que les bons coups. Et ça va me faire un choc que je risque de nier si on se voit avant ton départ. ...héhé, j'viens de me souvenir d'une toune: "Tuuuuuu t'en vaa-AAA-aaas... Tu t'en vas, Et ne reviens pas! Des gars comme toi, J'en ai plein les bras! Blaaa blaaa blaa blaaaaaaaa" C'est ce que je vais probablement te dire.
En fait, si, je l'ai déjà dit... Mais d'une manière si brutale et vulgaire... Je te demande pardon. D'un côté, ça risque effectivement de simplifier notre relation.... Enfin! Le fait est que: tu vas me manquer. En crisse.

Pour ce qui est de l'autre, j'ai écrit des tas de textes qui parlent pour ne rien dire. Enfin, qui ne lui diraient probablement rien à elle... J'ai écrit une lettre que pour elle, et j'espère ne jamais lui envoyer, question de garder le mal en d'dans et continuer d'écrire dans le vide avec beaucoup d'inspiration et peu d'aspiration (apirant 'lover', geeeeenre). J'préfère attendre l'université pour arrêter de m'faire des idées. To be true, c'est plus que j'aime imaginer plutôt que de risquer d'être heureux à deux. ...Man, j'devrais écrire pour Éric Lapointe. J'fais tellement des lyrics tranchantes et triss qui riment. "Ceeeuu moooonde........ s'rrra jamaaa' booo-WOUooh"

Bref, tout ça pour dire: je ne fais pas le vide autour de moi, je souhaite juste mettre les choses au clair. Je suis un sentimentaliste, un clown triss. Et qui te dit: prends soin de toi, pense le moins possible au monde d'ici quand tu seras partie. La peine est moins grosse à supporter quand on ne pense pas aux gens à qui l'on manque. Je sais pas si la musique va t'aider, honnêtement... Je te le souhaite. Ça et le fait de te trouver un nouveau mec. Un pas trop à chier, s'te plait. Question que tu reviennes pas aux fêtes les yeux gorgées de sang et de peine. Que tu reviennes avec le sourire aux lèvres et des p'tits anges tous nus dans les yeux!

Mucho big love, ma chère. Mucho mucho big love, ma sœur.
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JD, vendredi, une heure du mat (donc samedi, mettons)

dimanche 1 août 2010

Joies et peines d'un franco-canadien (30 juillet 2010)

Cela fait plus d'un an que je ne suis sorti avec personne. Ou plutôt, un an et demi, mais bon, peu importe. Le fait est que je ne sais plus comment ça marche, les premiers pas. Depuis plusieurs mois, je ne rêve que de ça: le moment où je suis officiellement en couple. La joie et l'excitation d'être enfin dans les bras d'une jeune dame affectueuse et seine d'esprit. J'aimerais pouvoir recommencer à l'infini cette expérience de premier contact, en sautant bien évidemment tous les jours de futilités, de routine, d'acquisition. Car évidement, tout finit par la possession: l'autre est notre conjoint, et ça ne changera pas. L'ennui mortel.



Cette fois, c'est différent. Anny est colombienne. Elle a le teint basané, sa langue natale est l'anglais, et elle, à défaut de toutes les autres feignasses à qui j'ai pu rêver, elle semble bien m'aimer pour qui je suis, même si je suis un peu abruti par moment. Avec elle, on peut ne pas savoir s'il faut parler en anglais pour qu'elle comprenne, ou parler normalement et ainsi se faire apprécier pour qui l'on est. Il faut faire attention; dans le premier cas, elle se sent mal. Le fait de s'adapter à elle alors qu'elle est en terrain francophone, c'est un peu désolant, selon ses dires. Tout de même, Anny ne mâche pas ses mots. En me déposant chez elle, dans sa voiture, elle me fait remarquer: "Tu vois, je t'ai laissé de l'espace pour la marche. Comme ça, tu ne seras pas... "pogné", you know". Une petite pointe, déjà. Le message est reçu: le couple est formé et elle me fait déjà la morale. Qu'importe, aujourd'hui, c'est jour de gloire et je suis enfin revenu dans les sentiers du bonheur.



Elle me dit: je nous aime bien, toi et moi. Mais je ne me conte plus d'histoire. Elle me dit: ne t'oblige pas pour moi. Mais je me sens bien dans ses bras. Elle me dit: tu me fais rire. Et je pense que c'est pour en finir. Elle me dit: ok, you're weird. Je fais la sourde oreille et prétends qu'elle est folle de moi. Je lui parle des lunes qui bondent le ciel d'onze heure le soir, je fais le poète un peu niais, et je me plais à penser que nous sommes ensemble pour un bon bout de temps.



Son appartement est un peu tassé, mais coloré. Je m'installe et attend son retour. Elle est partie se doucher ou je ne sais quoi. Jusqu'à cet instant, je ne me doute toujours pas que la dernière fois que je l'ai vue, c'était sur le pas de sa porte d'entrée. Elle a disparu à jamais.



Et je me réveille.

Je me dis: pourtant, ça semblait si différent des autres fois. Elle devait penser que je rêve trop souvent aux filles. Je me dis: elle n'en vaut pas la peine, ce n'est qu'une des rares qui arrivent de nulle part et continue sa route ailleurs. Elle a dû se douter qu'elle était la première à me donner un effet de réalisme. Je me dis: celle-là m'acceptait malgré ma douce folie. Mais elle devait plutôt se foutre de ma gueule.



Ben maintenant c'est fini, et je t'oublierai, toi et ton accent. Je te remplacerai tous les soirs.



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Jean

Le Château du Parc (28 juillet 2010)



Tout est silencieux. Le père dort dans la chambre. Claude est sur le bord de l'eau. Et les souvenirs reviennent, s'entrechoquent. "On est loin, loin des amours de loin", chantait Bashung. Et pourtant, son image est aussi claire qu'un ciel d'azur un après-midi de mai. Il y a ces souvenirs pas si lointains, et ceux de chaque année, lorsque l'on revient ici. Un château de vieux, avec un relookage plus jeune. Les saintes écritures sont effacées par la nouvelle couche de peinture. La marque de notre premier passage, disparu, comme s'il s'agissait de notre première visite. Ceci dit, comme tout bon château, il y a les ducs et les pages. Je ne me plains pas, je sais toujours très bien à quoi m'attendre à chaque année. Le pont levis tombe rapidement, le banquet est servi pour tous, puis on oublie les sujets et on passe à la décapitation. Pour rigoler, vous savez. Bon, certes l'image est poussée. Tout de même, une certaine amertume se place au cœur petit garçon qui revient toujours avec ses deux vieux.



Vous savez ce qui manque à ce haut lieu? Une princesse. La reine vient faire son tour pour le dernier banquet, mais une princesse serait de mise, un jour ou l'autre, ne pensez-vous pas? Les gens vont se rebeller et crier à la trahison: "Dehors, femelles immondes! C'est une réunion de MECS ici!". Certes, la réaction est probable, mais tout de même, j'y songe... Et si ce château était transférable?



Je vous montre la scène. Mon père et Claude se connaissent depuis le collège classique, ils sont maintenant âgés de 65 et 70 ans, et Claude a son chalet depuis quelque chose comme dix ans. Claude est du type comique, bavard, et qui se balance bien de ce qu'un autre peut dire, tandis que mon père est plutôt dramatique avec un sens de l'humour assez pincé, qui peut aussi être sec, tout en étant un être sensible. Si j'applique cette relation sur le plan de ma vie sociale, nul doute que d'ici 20-30 ans, je me retrouverai avec mes copains de collège, dans un chalet, avec mon enfant et rigoler en groupe tout en se moquant bien de ce qu'il peut raconter. Surtout s'il se met à se foutre de nos gueules de vieux cons.



J
e ne veux pas nécessairement dire que je souhaite transmettre un souvenir amer à mon enfant à propos de mes amis, mais seulement me dire que maintenant n'est pas si pire, et que vieux, on doit bien en rigoler.



Et puis... z'imaginez si j'avais une fille? Ouf, c'est presque sûr que les malaises seraient plus intenses!



That's all folks. For now...



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Jean, 18h29