samedi 8 octobre 2011

8 oct - Cerveau fleuve

Les milles pages se confondent, sur l’internet. Plusieurs textes méritent une étiquette pour les retrouver plus facilement, comme ici, ça parle du frère, du binaire, ah tiens, Binaire c’était un bon texte! Tiens un commentaire d’une wow ça fait longtemps, j’me rappelle plus son nom, facebook takatakatak, télé horaire, match des Pingouins, oh chouette! M’installe sur le divan, salut gros chat, tasse-toi, je regarde Fleury au but, tasse-toi j’te dis, bon tu veux te faire flatter, d’accord, tiens t’es mignon quand tu veux, d’accord j’te fais la toilette. Ah oui, j’me rappelle de son nom, là! Takatakatak, ça fait longtemps, est-ce que t’écris encore? Merde, c’est vrai qu’elle avait un beau nez, tiens j’vais écrire ça sur facebook : j’aime les belles filles avec un nez qui ne sort pas de chez l’esthéticienne, non c’est pas bon. J'ai envie de te dire que t'as un beau nez, mais tu pourrais penser que j'me moque de toi... alors que c'est loin d'être le cas. Finalement, j'te regarde et je love en silence, ton nez. Voilà, c’est mieux. Un point pour Calgary, bâtard… J’ai envie d’une quatrième bière, mais j’ai déjà la tête qui flotte trop vite, et puis who cares, personne ne va juger, je suis maître chez moi, comme disait Lesage, oh boy, cowboy Lesage, disait Bourgault, ouais faudrait je finisse son bouquin, lui. Faut finir de libeller ces textes, au son de Dummy 97, fuck que j’aime ta tristesse, Gibbons. Trop de Christie de BelleFille dans les thèmes, j’ai déjà hâte d’en sortir, de te sortir de ma tête, parsemé blog de réflexion, de vivre en société, de bons et moins bons coups, une bière, rivière cerveau c’est un pas pire titre, shit Caractères est encore down pour quelques jours. Ah ouais, j’me laisse aller, au diable les caractères, j’me laisse aller, pour mon plaisir, on verra c’que ça donnera. Je fume trop je sais je sais, takatak sur la machine électronique-nique-nique, le bruit des clics clics. Mi-temps. Glory Box, crisse que j’ai jouie dans mes pants quand le beat a parti. Je t’aime Beth, crisse oui. Ton petit coat fourrure sur le Quai Jacques-Cartier, crisse que t’étais belle à marier, oh oui, je t’aurais consolée. Et Raph qui parle de mes textes, merde mes textes, ils sont pas si hot, ils sortent quand je bois, quand je réfléchie pas, et la guitare, la guitare, la guitare, la guitare, la guetare, la guetare, les riffs de la décadente mort. Je réfléchie trop quand je colle le sobre. Mazzy stars, dans la nuit l’été indien, faut changer l’ambiance, j’ai besoin du flottement. J’écris pour ranger mes pensées, une fois évacuées, une fausse psychanalyse. Retirer le flux dérangeant pour rester normal, oublier pour ne plus trop penser. Et puis, des fois, elles ressortent, juste pour me troubler, elles vaquent, traînent, me tournent au ridicule parce que je n’ai pas de filtre et que tout bouge si vite quand je bois quatre bières, je n’ai plus de filtre pour ne pas dire ce qui se passe. Libels : fourrure, portishead, alcool, Raph, écriture, automatique, sport, chanson, amour, solitude

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