Tu chôme peu, Johnny Ramoneu
Les idées divaguent et se ressemblent
Tu diverges vers divers ensembles.
Faudrait te calmer, Johnny Sunflower.
On fait des rimes pourraves,
C'est pas pour la galerie qu'on s'éclate
C'est fini l'été. Faudrait en rev'nir.
Tu t'amuses, Jo la Cerise
Oublies tes p'tits conflits pis mange des fruits confits.
T'as la banane bien édentée, Johnny Peté
Relis tes phrases, fais tes dedo, tes dedos, tes devoirs, petit espoir de malheur.
Par la fenêtre on va lancer des fleurs, mon p'tit cœur.
Au salon, au plaisir de lire, au San-A.
Ah, tes p'tits tours de malfrats, je les connais, Johnny Bonnet.
Le sommeil est lourd, mon sale troubadour de joueur de tour.
La carcasse fume, et t'es là à regarder les nuages.
Mais qu'arrivera-t-il de bon avec toi, mon Johnny Flamand?
Heureusement, ya les jours gris
Tu panique, tu frémis, à présent, qu'a sonné l'heure
Désolé un instant, prêt à recommencer... oh là!
Tu te trompe de chanson, Jo Les Caleçons Longs!
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c'est don' le foune de faire du direct. La magie de la télé sans filet, mesdémes zé mécieurs.
dimanche 31 octobre 2010
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