Entre moi En me torturant. Une chanson pour me punir. Pour un bonheur mille malheurs, disait le clerc. Je n'ai pas droit au sentiment, qu'au ressentiment. Tout pourrait aller pour le mieux, je préfère le pire. Le temps avance, s'arrête recule à une vitesse exponentielle. Heureux pour un café à verser des gouttes sur la napkin maltraitée.
Avec un ami dans un Tim, dans un appartement, devant des inconnus. À m'ouvrir comme je l'ai fait, être surpris devant l'écoute, agréable, puis je me relis... God que je suis prétentieux, je suis si important, à pontifier, mes histoires, Pourquoi je suis moi. Je suis guerre.
Entre éthique et morale, guerre à moi-même de m'avoir trop menti, de m'être trop écouté parler. Wolf contre Napalme, dans mon cœur, dans ma tête.
Refuser de voir des groupes pour voir des gens seuls, pour me retrouver. Peur de m'amuser, de m'assumer. Un autre texte sans aucun sens, que je vais regretter.
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Sérieux, folks. Bientôt, je vais devoir renommer ce blog "Cabinet du cinglé naufragé". Ou "Dysthymie". Donnez-moi des numéros de bons docs de la cervelle. Ça va pas, là.
samedi 17 septembre 2011
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